Impérieuse nécessité pour le législateur, « exigence démocratique et souci d’efficacité sociale » pour l’Uniopss : mais dans la pratique cela reste modeste.
Relation professionnel / usager est déséquilibrée, l’usager étant là parce qu’il est vulnérable.
Pourtant « par ses expressions, la personne nous livre des infos essentielles sur sa situation » .
L’évaluation s’est souvent mise en place de manière rapide avec des outils empruntés au secteur marchand et donc peu adaptés.
Mais par ailleurs les modèle des enquêtes de satisfaction peuvent donner de bon résultats.
Le GEPso invite à travailler sur les représentations professionnelles « il ne peut y avoir de tabous à l’expression de l’usager ».
Il faudrait recenser les expériences.
Et il est sûr que le conseil de la vie sociale est insuffisant : les familles s’y sentent en position d’infériorité.
Sur cette question, on trouve des éléments plus fouillés en se reportant à
La participation des usagers à l’épreuve de la démocratie
et Participation des usagers à l’évaluation : sortir de l’incantation