Accueil, hébergement, insertion : la tête sous l’eau

10/9 – 739 – ASH 26/11/10 – p. 28-31
:)   :( :(
Et voilà qui en remet une petite couche... au cas où quelqu’un en aurait encore besoins ? C’est un peu ça mais ce qui est frappant ce sont les effets de seuil induits par les restrictions budgétaires et qui « piègent » le travail social.

FNARS : les tableaux budgétaires de l’administration « illisibles en termes de dispositifs financés »

- Et cachent de grandes disparités locales.

  • Veille sociale et hébergement d’urgence ont été les plus durement frappés  ;
  • la logique officielle « logement d’abord » conduit à vouloir maîtriser ces dépenses
  • mais il faut accompagner les plus fragiles
  • et il n’y a pas assez de logements....

- Tour d’horizon : nous retenons les Bouches-du-Rhône...

  • en août et septembre 1 000 nuitées d’hôtelà la disposition du 115 n’ont pu y être assurées
  • et depuis octobre la FNARS doit contingenter les places.
  • Contradiction entre priorités du PDAHI et coupes budgétaires.

-  Alors les associations s’adaptetn :

  • flux tendu, ratio diminué, moindre classification des équipes...
  • quitte à dénaturer leur projet associatif ?
  • prises en charge plus sélectives....

- Quid du sens du travail social et du respect d’inconditionnalité et continuité de l’accueil ?

- A Grenoble, à Lyon des actions se sont fait jour

-  Et cet été est née une coordination nationale des professionnels de l’urgence sociale :

  • elle a rencontré M. Régnier le 14 octobre
  • et participera au comité national de la « refondation » (mensuel)