Une enquête sur la précarité des étudiants en travail social en Ile-de-France

10-9 / 729 – ASH 26/11/10 –p. 18
:)   :( :(
Ce n’est pas brillant et il serait bien de tout remettre à plat là aussi. L’égalitarisme à la française est bien souvent curieux.

Entretien avec Mme Lefebvre, consultante

-  Plus de 50% ont moins de 25 ans :

  • 22% en cours d’emploi (pro ou apprentissage, de 500 € au SMIC),
  • 20% aidés par les Assedic,
  • 43% aidés par leurs parents (surtout ES & AS en voie directe).

-  27% ont une activité rémunérée ;

  • 10% recourent aux services sociaux (ou organisme caritatif)

- Ils se restreignent sur les soins de santé ou l’alimentation,

  • 25% sautent des cours (pbs de santé ou chevauchement avec leur activité pro).

-  20% ont eu l’intention d’interrompre leurs études pour ces raisons :

  • surtout des AS (moins confiance dans leur avenir professionnel)

- Ils ont des frais et des contraintes (semaines 35 h, transports...)

  • mais pas accès aux aides universitaires (sauf s’ils préparent une licence)
  • et la gratification marche mal : seuls 10% des ES & AS interrogés l’ont perçue...