Entretien avec M. Tardieu, délégué national
« Le code pénal français reconnaît 18 motifs de discrimination » mais pas celui-ci alors que les pauvres ont toujours été discriminés :
- rejetés parce qu’ils habitent dans une cité, ou ont la CMU ;
- on leur reproche les aides qu’ils perçoivent ;
- victimes d’une présomption d’incapacité
(dans le domaine de l’éducation des enfants par ex)….
Depuis 3 ans nous échangeons avec la HALDE et collectons des preuves :
- refus d’un logement pour « risque d’insolvabilité sévère » alors que l’APL suffit au loyer… la nature des ressources suffit à inquiéter… mais pas de recours judiciaire.
Cela suppose de changer le code pénal : c’est compliqué.