Les épiceries s’inscrivent en complément de l’aide alimentaire d’urgence (gratuite).
Elles permettent de choisir des produits contre une participation financière
(entre 10 et 30% du prix du marché mais pratiques tarifaires variables).
« Consommer comme tout le monde » (ANDES)
Conçue comme une étape de quelques mois mais certains bénéficiaires restent et « on ne travaille pas assez sur la sortie du dispositif »
ANDES :
- le public a augmenté de 20% en un an et de plus en plus de personnes considérées jusque là comme « insérées »
(travailleurs pauvres, jeunes, retraités au minimum vieillesse…). - « Public nouveau pour qui tendre la main est difficile » ; l’épicerie apparaît moins stigmatisante que l’aide d’urgence.
Environ 500, souvent dirigées par 1 CESF et adossées à CCAS ou assoc.
Accompagnement social :
- alimentation comme support pour rompre avec l’isolement.
Insertion sociale :
- inscrire l’argent économisé dans un projet (se soigner, repeindre logement…) ;
- ateliers (gestion budget…) ;
- faire participer bénéficiaires au fonctionnement.
Travail sur la diététique :
- infos, ateliers…
(bénéficiaires aussi déstabilisés par l’aide d’urgence : produits tout prêts, conserves…).
Gros pb pour fournir les quantités nécessaires : manque d’épiceries … et de stock.
Banque alimentaire, secteurs en surproduction…
Les bénévoles jouent un grand rôle mais dynamique de professionnalisation à l’œuvre.